 WDP 2020 Celebration, Mexico En América Latina, la pandemia del Covid-19 ha tenido impactos diferentes. Se hace difícil la comunicación pues muchas de las mujeres no tienen acceso a las redes sociales, la calidad del servicio de internet es mala, o en sus casas están los familiares trabajando que tienen prioridad en el uso del servicio de internet. La pandemia afecta mucho a las mujeres trabajadoras por el hecho de estar la mayoría dentro del sector laboral informal. Al quedarse en casa, no poden acceder al recurso de su sobrevivencia. Además el desempleo ha aumentado, haciendo que sus esposos desempleados o los padres de sus hijos no les dan la pensión alimenticia. Hay más miedo a morir de hambre que del COVID -19! Hay crecido el nivel de estrés de las mujeres que están atendiendo a toda la familia en cuarentena, con los niños pidiendo lo que no se les puede dar (comida) y maridos estresados aumentando el riesgo de violencia. Las mujeres están sin poder salir a denunciar por miedo al contagio. Esto es un común en la región, por lo que se de en Nicaragua, Guatemala; el Salvador, Honduras y México. La impotencia al no poder ayudar se experimenta en muchos niveles, incluso ante las políticas de la mayoría de los gobiernos en Latinoamérica, que priorizan los intereses políticos a la vida y las necesidades de los más vulnerables. Es en estos momentos donde las palabras de Jesús en Juan 5: 6 - "quieres ser sano" - toman un significado relevante. Las acciones de la gente y el amor a la vida requieren del coraje para levantarse y tomar medidas que transformen el dolor, la muerte, y la impotencia en esperanza, alegría, rencuentro, salud, sanidad y fe. Deseo y pido a Dios, que cada cual encuentre la sabiduría para responder y hacer lo que se necesita en cada situación para transmitir esperanza, y confiar en la fidelidad de Dios, que nos permitirá salir de esto momento. Que Dios nos ayude. Amen. -Rebeca Cascante, Representante de Latinoamerica en el
Comité Internacional del Día Mundial de Oración
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 L’année 2020 est une année spéciale avec la crise sanitaire due au covid-19 qui a changé les habitudes de vies des êtres humains. Mesures barrières, confinement, fermeture des frontières etc… sont des mots ou expressions qui circulent et font désormais partis de notre lot quotidien. Au niveau de la Journée Mondiale de Prière, on pourrait parler d’une prédilection avec le thème de célébration 2020 préparé par nos sœurs du Zimbabwe à savoir : « Lève-toi, prends ton grabat et marche ». Le covid-19 est venu montrer combien nous sommes fragiles et limités, que Dieu seul est le maitre de l’univers et que tous nos projets sont soumis à Sa volonté. Les célébrations se sont bien passées dans plusieurs pays mais pas dans d’autres mais ce qui est sûr c’est que nous sommes restées en connexion d’esprit. Beaucoup de comités nationaux n’ont pas réalisé l’action qui accompagne la célébration à cause du confinement à l’exemple du Comité National JMP du Cameroun ; mais les actions peuvent maintenant s’orienter vers les personnes qui n’ont pas les moyens leur permettant de respecter les mesures barrières à la propagation du coronavirus. Au Cameroun, en avril 2020, la propagation du virus augmente tous les jours et est présent dans 9 Régions sur 10 ; nous sommes aujourd’hui à 1v705 cas confirmés, 58 décès et heureusement 805 cas guéris. Les écoles, églises et lieux de prières sont fermés, avec interdiction de réunion, de manifestations. Tout se fait aujourd’hui à travers les outils de communication. Pour ce qui est des régions, j’ai envoyé un message de réconfort en ce temps de confinement et une orientation pour les intentions de prières, quelques comités ont apprécié et j’ose croire que pour l’ensemble, nous sommes dans cet élan de nous lever pour soutenir les famille victimes, les médecins, etc.. Avec les fermetures des frontières, tous les projets de rencontres sont suspendus, mais j’ai foi que le temps de Dieu viendra. Le temps de confinement parait nous éloigner de nos projets, de nos désirs, de nos ambitions ; mais reconnaissons que c’est le temps de rapprochement avec Dieu, pour renforcer les relations avec notre Seigneur, renforcer les relations avec la famille, renouer la vie harmonieuse avec les gens de sa maison ; c’est un temps de retraite spirituelle avec prières, lectures bibliques, jeûnes, c’est le temps de réflexion sur notre vie pour une prise de conscience et un retournement. Face à ce virus, pouvons-nous seulement dépasser nos rivalités, nos guerres et querelles antérieures pour nous tourner vers un monde meilleur du bien-être, de la cohésion, de la collaboration pacifique ? Malgré le fait que nous soyons à terre parce que découragées par les méfaits de ce virus, le Seigneur nous demande de nous lever avec toutes les forces qu’il nous donne, pour la mission qu’il nous a confiée. De la même manière que Dieu a roulé la pierre à l’entrée du tombeau de Jésus, il roulera la pierre que constitue ce fameux virus et nous redonnera le bonheur de vivre une vie de partage, d’amour, de paix et de réconciliation (Matthieu 28 : 1-10). Que Dieu nous vienne en aide. - Henriette Mbatchou, Représentant régional de la CIJMP pour l'Afrique
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